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Exemples fournis avec la carte PICkit 2

Douze petits programmes sont fournis avec la carte PICkit 2 Starter Kit.
Ils ont pour nom :
- Hello World
- Blink
- Rotate
- a2d
- VS Rotate
- Debounce
- Reversible
- Functions
- Timer0
- Interrupt
- Indirection
- Lookuptable

Le premier exemple sert à allumer la LED la plus à gauche de la carte, c'est-à-dire la LED connectée à la broche RC0.

Le second exemple fait clignoter la LED la plus à gauche de la carte de manière régulière.

Le troisième exemple provoque l'allumage de la LED la plus à droite de la carte. Lorsque celle-ci s'éteint (après quelques millisecondes), la LED à sa gauche réalise la même opération d'allumage et d'extinction. Ce type d'actions est ensuite également produit par les deux dernières LED de manières successives.
Lorsque la LED la plus à gauche s'éteint, la LED la plus à droite se rallume et le cycle d'allumages et d'extinctions se répète à nouveau.

Le quatrième exemple sert à mesurer la tension aux bornes du potentiomètre et à allumer une ou plusieurs LED en fonction de la grandeur mesurée.

Le cinquième exemple réalise les mêmes opérations que le programme Rotate, à la différence que la durée d'allumage et d'extinction est fonction de la tension mesurée aux bornes du potentiomètre.

Le sixième exemple sert à compter le nombre de fois où le bouton-poussoir est enfoncé et allume une ou plusieurs LED en fonction des mesures prises.

Le septième exemple est une variante du programme VS Rotate. Il réalise les mêmes opérations, mais l'enfoncement du bouton-poussoir provoque l'inversion de l'ordre d'allumage des LED.

Le huitième exemple a les mêmes fonctionnalités que le programme précédent, mais les délais d'allumage et d'extinction sont introduits à l'aide d'une fonction.

Le neuvième programme réalise un comptage binaire sur les quatre LED de la carte, mais l'allumage et l'extinction se fait grâce au module interne Timer0.

Le dixième exemple réalise les mêmes opérations que le septième programme, mais cette fois-ci, le programme utilise à la fois des fonctions et des interruptions.

Le onzième exemple est une variante du programme a2d, mais cette fois-ci, on utilise l'adressage indirect et les pointeurs.

Le dernier exemple affiche le code Gray en fonction de la tension mesurée aux bornes du potentiomètre, en réalisant une conversion entre le code binaire et le code Gray.

Articles annexes